« Je ne crois pas que… » s’apprêtait-il à rouspété. En vain. Il sen semblait pas d’humeur à se battre contre le morveux, le petit blond; Naruto. Non, pas aujourd’hui. Il ne tenait pas non plus à, encore une fois, devoir s’obstiner avec lui pour le convaincre que non, il n’avait pas exactement le temps de l’entrainer ce jour la. Il lui sourit, se gratta la tête, et, quelque secondes seulement, ricana discrètement, en se disant, intérieurement, qu’il ferait mieux de ficher le camp en deux temps trois mouvement, ou de se cloner, peut-être même, de permuter? Ou trouver une excuse, tout simplement… Oui enfin, voilà, il n’en voyait pas vraiment d’autre choix, quoi.
Il répliqua finalement, sachant pertinemment que le jeune garçon n’en serait guère ravit, qu’on l’attendait (bien qu’il se montrait constamment en retard aux rendez-vous, il se doutait bien que le jeune Naruto ne pigerait pas dans l’immédiat, en tout cas.) Sur ces quelques mots donc, bien qu’il se sentait quelque peu coupable de le laisser planté là de la sorte, il fila, dans un nuage de fumée blanche, disparaissant littéralement du regard du blond qui aurait tôt fait de se mettre en colère.
Quelques instant plus tôt, il réapparu dans le bâtiment de la Maître Hokage. En y ouvrant la porte, il n’aperçu pas la femme en question. Dommage? Il ne savait trop dire. Surtout que, ces derniers temps, elle semblait beaucoup vouloir requérir ses talents. Ses yeux se posèrent évidemment d’abord sur les grandes vitres, dans le fond de la grande pièce centrale, un peu ronde, aux murs en cercles. Il dû un peu fermer les yeux leva même une main devant son visage lorsque les rayons du soleil percèrent littéralement, se reflétant sur lui. Il s’avança un pu, jeta un coup d’œil vers sa gauche, vers la bibliothèque, y demeura un instant se disant qu’il n’y trouverait rien de très fascinant, en vérité. Il reporta donc son attention devant lui, où se trouvait le célèbre bureau. Sur ce dernier, une impressionnante pile de papiers, documents, information sur les ninjas du village, par exemple, d’autres papiers sur lesquelles ont avaient indiquées toutes les missions en cours, terminé, ou à venir, même. Il se pencha même, légèrement, une demi secondes seulement, par-dessus toute la paperasse, pour voir, à travers les tas de feuilles, crayons, encre, étampes et même… même… Ho, surprise, un verre de saké vide. Comme si cela avait quelque chose de surprenant. Haussant les épaules, le nija copieur se redressa un peu, se retourna d’un geste quelque peu las, et fixa son regard sur la grande porte de bois, son ombre dessinée sur cette dernière, lorsqu’elle s’ouvrit dans un craquement presque silencieux.
« Bonjour, maître Tsunade… »